
Ce que change vraiment chaque format
Le 3×3 est le compagnon des stands compacts : billetterie, point d’info, caisse, petite terrasse de deux à trois tables. Sa force, c’est sa maniabilité : il se transporte et se met en place rapidement, et convient aux sites contraints (ruelles, escaliers, accès serrés). Sa limite ? Le stockage, qu’il faut souvent déporter.
Le 3×4,5 ajoute exactement ce qui manque parfois au 3×3 : du linéaire. Sur un marché ou en CHR, ces 4,5 m de front permettent d’exposer davantage, d’installer un comptoir de service confortable et de fluidifier la file. Le volume et le poids augmentent un peu, mais la polyvalence reste excellente pour une équipe de deux personnes.
Le 3×6 prolonge cette logique : vous gagnez 18 m² avec une façade de 6 m très lisible, idéale pour les étals longs, les bars événementiels ou les zones de retrait. L’empreinte reste raisonnable en profondeur, ce qui facilite l’implantation sur trottoir ou allée. Côté montage, on reste sur 2 personnes, avec un lestage proportionné à la longueur de façade.
Le 4×6 change d’échelle. Avec 24 m², on crée un véritable espace d’animation ou de démonstration : showroom, tests, zone de restauration, paddock. Sa grande surface d’un seul tenant est très appréciée.
Le 5×5, enfin, est l’allié des implantations premium. Son carré de 25 m² valorise le branding, structure un espace VIP ou protocolaire et offre une perception très professionnelle sur les événements. Son gabarit demande plus de logistique, mais l’impact visuel est incomparable.